Introduction
En tant qu’être humain, la maladie et la santé ne se séparent pas dans la vie quotidienne. Dans cette dernière, il y a des gens qui sont capables de sauver une vie ; ils ou elles sont des médecins généralistes ou spécialistes. Et ils ou elles ont leurs déontologie vis-à -vis des personnes malades. Il y aussi des juristes qui ne cessent jamais de se battre pour une société plus juste et plus équitable à Madagascar. Pourtant, les hospitalisés reçoivent des traitements inégaux venant des docteur.e. s ou de leur Personnel Technique et Administratif (PAT). Sur ce, être dans un hôpital à Madagascar, c’est comme vivre dans une prison, spécifiquement dans un hôpital public.
Des problèmes pour les hospitalisé.e.s.
La majorité de personnes malades n’arrivent pas à acheter des médicaments à cause de la hausse du prix ou des médicaments qui n’existent pas dans un pays. Et, ils ou elles se sont bien traité.e.s s’ils sont de la famille d’un médecin. Les médecins restent souvent en ville pour leurs conditions de travail. Dans ce cas, les gens ruraux sont obligés d’aller en ville si leur maladie s’aggrave. Ce sont des infirmier.e.s ou des sages-femmes qui travaillent dans le milieu du travail. Beaucoup de femmes donnent naissance à leur enfant chez elles pour des raisons de manque d’argent, de matériaux pour avoir un bébé. Il existe des gens hospitalisés qui sont morts par l’insuffisance des soins, des docteur.e. s, surtout un manque de soutien psychologique.
Problèmes pour les docteur.e. s
A part les hospitalisé.e. s, les docteur.e. s subissent un tas de problème du début de leur études jusqu’à leur exercice de fonction parce qu’ils ou elles ne reçoivent pas non plus une bonne condition convenable à leur fonction ; leur salaire est très bas, ce sont eux-mêmes qui achètent leur fourniture médicale. En plus, leur nombre sont tellement minimes, un médecin s’occupe de plus de 20 personnes en une journée. Par conséquent, leur condition de travail est tellement défavorable. Et cela les pousse parfois à ne pas respecter la déontologie médicale.
Une voie à suivre pour les patients et le docteurs
Donc, en gros, que ce soient les hospitalisé.e. s ou les médecins, ils sont victimes d’une politique de l’Etat qui ne répond pas à leurs besoins. Mais, ce sont les personnes malades qui souffrent le plus d’un problème financier, psychologique, social, juridique à Madagascar. Pourtant, l’Etat Malagasy a déjà assuré certaines infrastructures, il collabore avec les ONGS, des entreprises privées, pour répondre aux besoins de la population dans le domaine de santé. Mais cela reste encore insuffisant.
Conclusion
Des solutions durables. La meilleure manière de lutter contre toutes formes d’inégalités entre les personnes malades et les docteur.e. s, c’est de recruter de plus en plus des médecins avec leur spécialisation chaque année, offrir une formation de qualités serait une nécessité pour les sages femmes, les infirmier.e. s, plus précisément l’implication de la loi d’une manière équitable entre toutes les populations Malgaches tant au niveau du milieu urbain que du périphérique. Ainsi, le plus important est d’initier la filière médecine d’une manière générale depuis l’école primaire pour faciliter la compréhension d’une maladie pour les Malgaches. Tout cela reste en vain si l’Etat Malgache n’a pas la possibilité de tout changer dans le domaine médical.
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