Introduction 

Où que vous soyez dans le monde, nous sommes tous passés par là : noyés sous les échéances, nous sentant complètement à côté de la plaque et nous demandant si nous n’avons pas pris un mauvais virage dans le système de navigation de la vie. Dans le même temps, les personnes qui étaient aussi perdues que vous (ou pire !) vont soudain de l’avant, prospèrent et remuent le couteau dans la plaie en recevant tout le soutien du monde. Et vous ? Vous êtes assis sur la voie de garage, vous tapez dans le volant et vous vous demandez pourquoi l’univers ne vous a pas donné le même GPS. C’est frustrant. C’est épuisant. Et, honnêtement ? C’est carrément injuste. Pire encore, vous commencez à soupçonner que certaines de ces soi-disant connaissances s’amusent de votre lutte. Peut-être ne vous ont-ils jamais encouragé au départ. Aujourd’hui, alors qu’ils se prélassent dans la reconnaissance, vous vous demandez si votre système de soutien existe vraiment. Cela vous rappelle quelque chose ? Ne vous inquiétez pas. Avant de rédiger votre lettre de démission, parlons de la façon de retrouver votre santé mentale et de revenir dans le jeu.

Cessez de comparer et récupérez votre pouvoir

Si la comparaison était un sport olympique, la plupart d’entre nous seraient médaillés d’or. Bien qu’elle soit tout à fait naturelle, c’est aussi l’un des moyens les plus rapides de perdre sa motivation. La science confirme même que cette comparaison sociale est liée au stress, à l’anxiété et à ce sentiment particulier de vouloir lancer son téléphone à travers la pièce. Alors, quelle est la solution ? Changez de point de vue. Au lieu de penser « Ils gagnent et je perds », essayez plutôt de vous dire « Leur succès n’enlève rien au mien ».  La vie n’est pas une pizza ; le fait que quelqu’un d’autre en ait une part ne signifie pas que vous en ayez moins. Vous êtes dans votre propre temps. Vous prenez peut-être la route panoramique, mais les routes panoramiques offrent de meilleures vues. Un truc pratique ? La technique Pomodoro: travaillez pendant 25 minutes, faites une pause de cinq minutes et recommencez. Cela vous permet de rester concentré et vous empêche de parcourir les médias sociaux en regardant vos « rivaux » publier leurs dernières réalisations.

Faire face aux personnes qui ne vous soutiennent pas et trouver son propre carburant 

Peu de choses sont plus agaçantes que de voir des personnes qui ne vous ont jamais vraiment apprécié prospérer soudainement avec un fan club à part entière, rien de moins. Mais voilà : le succès n’est pas un concours de popularité. D’innombrables personnes ont réussi alors qu’elles n’avaient aucun soutien au départ. Ce qui compte, ce ne sont pas les applaudissements, c’est la persévérance. Cela dit, le fait de ne pas se sentir soutenu peut être mentalement épuisant. Construisez donc votre propre système de soutien. S’il n’y a pas de pom-pom girls dans la vie réelle, soyez votre plus grand fan. Tenez un journal de vos progrès, même si la réussite du jour est de ne pas avoir pleuré en public (une victoire est une victoire). Écoutez des conférences de motivation, suivez des personnes inspirantes et, surtout, ne donnez pas à vos détracteurs la satisfaction de vous voir vous effondrer. Leur carburant est votre réaction, alors affamez-les.

Garder le cap quand tout semble s’effondrer 

Lorsque la vie s’écroule, il est tentant de se blottir dans une couverture et d’accepter son sort. Mais avant cela, parlons des tactiques de survie. Tout d’abord, respirez, pas le soupir exagéré que vous faites lorsque quelqu’un d’autre obtient une promotion, mais une respiration contrôlée. Essayez la respiration en boîte : inspirez pendant quatre secondes, retenez votre souffle pendant quatre secondes, expirez pendant quatre secondes et retenez votre souffle pendant quatre secondes, répétez l’opération jusqu’à ce que votre cerveau cesse de préparer sa vengeance. Une autre chose est la gratitude. Oui, cela peut paraître banal, mais la science affirme que le fait d’écrire chaque jour trois choses dont vous êtes reconnaissant permet de reconnecter votre cerveau à la positivité. Même si votre liste commence par « le café » et « le fait de n’avoir crié sur personne aujourd’hui », c’est un progrès. Bougez aussi votre corps : une promenade de 10 minutes peut vous remonter le moral plus rapidement qu’un courriel de démission tapé avec colère. Enfin, riez de cette folie. Imaginez vos difficultés comme une scène de film – l’absurdité de tout cela, avec une musique de fond dramatique. À défaut d’autre chose, vous aurez au moins une histoire hilarante à raconter lorsque vous aurez enfin réussi à vous en sortir.

Conclusion

En fin de compte, se sentir à la traîne ne signifie pas que l’on a perdu. Regarder des personnes qui ne vous soutiennent pas réussir peut être douloureux, mais leur parcours n’est pas le vôtre. Cessez de vous comparer, célébrez les petites victoires et rappelez-vous que les victoires tardives restent des victoires. Le succès n’est pas une question de rapidité, mais d’endurance. Et croyez-moi, votre moment viendra. D’ici là, respirez profondément, continuez à avancer et prenez peut-être un en-cas.

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