Introduction

Depuis plusieurs décennies maintenant il y a une alerte générale sur des questions liées au climat faisant état d’un changement climatique au niveau  global avec des effets sur le quotidien des humains ( chaleurs insupportables, perturbations des saisons qui impactent directement le domaine agricole, …). Cette alerte était en même temps un appel au renforcement des pratiques et politiques locales , nationales et en vue d’atténuer tant soit peu lesdits effets ! 

l’Afrique un cas à part  en ce qui concerne le changement climatique ?

l’Afrique a semblé être pendant un temps un cas à part en ce qui concerne les enjeux climatiques, parce que plusieurs africains se disaient que le fait que l’Afrique ne soit pas parmi les grands pollueurs épargnerait l’Afrique des effets du changement climatique; conception qui est scientifiquement erronée dans le sens que la terre étant une seule entité divisée en compartiments séparés qu’on appelle continents, et les pays pollueurs et ceux qui ne polluent pas subiraient tous les effets du changement climatique même si peut être pas au même degré ! Cela a poussé à une non prise au sérieux des pays de la question liée au changement climatique 

Enfin une prise de conscience forcée ?

Depuis un temps en Afrique, une conscience a commencé à naître au sein des populations en se rendant compte de la réalité en face ! l’Afrique a commencé à subir aussi des effets visibles du changement climatique entre autres la désertification qui prend de l’ampleur,  la sécheresse du Nil, perturbations climatiques ( D’ailleurs en ce mois de Mars 2024, l’Afrique a ressenti une chaleur inhabituelle et insupportable, ce qui a été un des déclencheurs de plus de la conscience collective en rapport avec le changement climatique)

Conclusion 

Nous pensons qu’il est plus grand temps que les décideurs africains ( politiques, économiques, religieux, …) prennent la question du changement climatique avec tout le sérieux et l’urgence qu’elle mérite, faute de quoi ses conséquences risqueraient d’être fâcheuses car n’étant pas préparés ! Des programmes et mécanismes de reboisement, de protection des forêts, cuisson propre, énergies renouvelables, … devraient voir le jour pour que l’Afrique aussi se dit prête à l’éventualité !