Introduction
Le changement climatique, et les maladies causés par les aliments que nous consommons sont les résultats des fausses routes que nos chercheurs ont commises. Cependant, l’erreur peut arriver à n’importe qui. Nous ne demandons pas la restitution des diplômes, ni les salaires de nos chercheurs. Une autre alternative est devant nous : « êtes-vous prêt à suivre la nouvelle vie ? »
Quelques idées fausses
On nous a appris pendant les années de la peste de brûler toutes les mauvaises herbes, pour éradiquer les refuges des rats. Nos ancêtres sont bien éduqués pendant la période du paludisme de tarir l’eau afin d’arrêter la multiplication des moustiques. On nous a formés à utiliser des engrais chimiques, intrants agricoles, pour avoir suffisamment de nourritures, et atteindre le rendement et la rentabilité des pays développés. Actuellement, les mauvaises herbes et forêts pour fertiliser nos terres sont presque disparues. Les sources d’eau pour irriguer nos terres n’y sont plus. Et puisque les gens sont pauvres, 90% de la population ne consulte pas les médecins. C’est pourquoi, le gouvernement ne connaît réellement pas le nombre de gens victimes des produits chimiques dans leurs nourritures. Les pays producteurs d’engrais et intrants chimiques génèrent des millions de dollars en vendant ces ordures aux pays pauvres. Par contre, ils n’achètent même pas un kilo de nos produits issus de ces ordures. Tôt ou tard, les peuples seront atteints de maladies difficiles à traiter comme le cancer, problèmes respiratoires, rhumatisme, …, et le gouvernement devra contracter des dettes de plusieurs millions de dollars encore pour acheter des produits pharmaceutiques.
Les solutions sont devant vous
Toutes les terres, surtout en Afrique, n’ont pas besoin l’utilisation des produits chimiques. Nous avons d’abondantes plantes sauvages pour remplacer ces fertilisations chimiques. On peut créer des engrais, insecticides, acaricides, fongicides, même raticides à partir des plantes et matières locales. Mais nos gouvernements sont aveuglés par les politiques, et ne trouvent pas la voie de la sagesse. En Afrique, on peut atteindre l’autosuffisance en remèdes biologiques. Il faut conjuguer les efforts entre techniciens pour y parvenir. Il faut une collaboration entre techniciens : chercheurs, managers, génie en marketing, leaders, …, pour créer des engrais, intrants, médicaments bios. En marketing, si vous n’êtes pas producteur et distributeur de ces produits bios, quelqu’un d’autres prendra votre place. Et dans ce cas, il vous vendra des produits qui ne visent pas votre santé, mais sa rentabilité financière. Souvenez bien le cas des « poulets de chairs ». Les producteurs de poulets bios ne couvrent pas le marché, alors que les poulets de chair comblent ce marché jusqu’à ce que la mort s’ensuive.
Conclusion
En effet, nous avons brûlé, et séché nos terres. Nous avons procédé à l’utilisation des produits chimiques pour avoir de la nourriture. Le changement climatique affecte notre santé : générant des maladies difficiles à curer, ou incurables. Pourtant, nous avons d’autres matières pour remplacer ces produits. Unissons nos forces à produire des fertiliseurs, intrants, médicaments, biologiques.