Introduction
Plusieurs manières de définir un voyage, chacun a ses propres perceptions. Mais le point commun c’est que le frais de déplacement s’il s’agit d’un transport commun. Un voyage ne peut pas se réaliser sans l’existence d’une coopérative et des voyageurs. Sur ce, il faut noter que les personnes qui se déplacent ont leurs exigences, attentes venant de cette coopérative ou inversement. Cette coopérative a l’obligation de respecter sa déontologie, y compris le respect des droits de voyageur. Et c’est là que les problèmes surgissent tels qu’une gestion de l’administration de Transport Publique et le respect de Droit de l’Homme. Mais avant tout, c’est mieux de connaître les raisons, les vécus des voyageurs dans ces deux régions et la capitale de Madagascar afin de trouver des solutions adéquates.
Les causes principales du voyage
Les gens nordiques viennent à Antananarivo pour, étudier selon les jeunes Bacheliers(ères), vendre des produits venant de la région, exploiter un commerce, assurer le marketing entre les Tananariviens.ennes, ou juste travailler, faire du passage afin qu’ils puissent travailler à l’étranger, ou pour des raisons politiques (réunion politique entre les autorités centrales-locales). De ce fait, pour certaines personnes, voyager est un plaisir, est une occasion de se distraire un peu, découvrir un. e ami.e., surtout pour profiter des aliments naturels avec bon goût.
Les vécus des voyageur.e.s.
En revanche, les autres voyageurs n’arrêtent pas de se plaindre à propos de l’état de service que la coopérative leur a offert. Tout d’abord, le non-respect de l’heure de partir, la place n’a jamais été confortable, surtout pour ceux qui sont vieux ou vieilles, ils n’ont pas le droit de critiquer les conducteurs, les frais de déplacement, puis les aliments sont très coûteux. Et, les chauffeurs, les propriétaires du véhicule, les gargotiers (ères) profitent souvent des personnes qui se déplacent en brousse d’une manière ou d’une autre, plus précisément lors de la saison tropicale car beaucoup des routes sont endommagées à cause de l’abondance de pluie ou de cyclone au niveau de ces deux régions. Ensuite, les risques d’accident sont très nombreux. Face à tout cela, l’envie de voyager diminue. Donc, un voyage est vraiment un casse-tête pour toutes ces personnes. Par rapport à cela, comment ces voyageurs peuvent-ils jouir des droits de voyager ou notamment leur droit en tant qu’être humain ?
Conclusion
Alors suggestions pour éradiquer cette situation, seule est importante la prise en compte des besoins des voyageurs par les autorités Centro-locaux, y compris l’assurance d’éduquer les guichetiers (ères), les voyageurs. Pour ces derniers, faire savoir aussi leur Droit afin d’éviter toutes formes d’arnaques. Dans tous les cas, ce serait mieux pour l’Etat Malgache d’ouvrir une école spécialisée pour les transports terrestres à Madagascar.
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