La cybercriminalité en Afrique : les solutions.

Le monde connaît un boom de la cybercriminalité. Le coût de ces attaques pour les économies africaines a été estimé à 3,5 milliards de dollars en 2017. Ce chiffre a certainement augmenté depuis lors.

Les technologies numériques sont extrêmement importantes dans la société moderne. Des serveurs les plus sophistiqués aux portables, nous dépendons des produits et services technologiques dans notre travail comme dans notre vie sociale.

C’est pourquoi plusieurs initiatives ont été lancées pour que les gens se sentent en sécurité et protégés lorsqu’ils les utilisent. Il est important d’examiner les mesures prises pour faire face à la menace croissante en Afrique.

Que peuvent faire les gouvernements ?

Comme pour tout autre type d’activité criminelle, il incombe aux gouvernements de s’assurer que des lois sont en place et appliquées pour protéger leurs citoyens. Ces législations peuvent en grande partie être divisées en deux groupes.

Le premier groupe est constitué des lois réglementaires qui exigent des organisations qu’elles mettent en place des mesures de cybersécurité adéquates.Les plus importantes sont les lois sur la protection des données qui protègent les informations personnelles des individus. Récemment, de plus en plus de gouvernements africains ont reconnu l’importance de ces lois. L’Égypte, le Kenya, la Zambie et le Zimbabwe sont les derniers à les avoir introduites.

L’autre type de lois est celui qui prévoit des sanctions adéquates pour les cyber-crimes afin de décourager les pirates informatiques de mener des attaques.Ces dernières années, l’Afrique du Sud a été la cible de plusieurs cyber-attaques et a récemment proposé un projet de loi dans ce sens.

Ces lois sur la cybercriminalité et la cybersécurité augmentera les peines et imposera des sanctions plus sévères pour décourager les activités criminelles.Les plus importantes sont les lois sur la protection des données qui protègent les informations personnelles des individus. Récemment, de plus en plus de gouvernements africains ont reconnu l’importance de ces lois. L’Égypte, le Kenya, la Zambie et le Zimbabwe sont les derniers à les avoir introduites.

L’autre type de lois est celui qui prévoit des sanctions adéquates pour les cyber-crimes afin de décourager les pirates informatiques de mener des attaques.Ces dernières années, l’Afrique du Sud a été la cible de plusieurs cyber-attaques et a récemment proposé un projet de loi dans ce sens.

Ce projet de loi sur la cybercriminalité et la cybersécurité augmentera les peines et imposera des sanctions plus sévères pour décourager les activités criminelles. Il prévoit notamment des amendes plus élevées pour un plus grand nombre de crimes qui étaient auparavant faiblement punis. La possession de logiciels utilisés pour le piratage sera rendue illégale et les communications nuisibles, comme le racisme ou les abus, sur les plateformes en ligne seront également considérées comme un délit.

Quelle est l’importance de la sensibilisation ?

Malgré ces exemples, il reste beaucoup à faire en termes de législation qui protège les individus sur tout le continent. Il est donc extrêmement important de sensibiliser les gens à la question de la cybercriminalité.

S’il est important que les gouvernements investissent le temps et les ressources nécessaires pour comprendre les problèmes et trouver les meilleurs moyens de les résoudre, nous pouvons tous jouer un rôle pour mettre en lumière la cybercriminalité.
L’éducation reste l’un des moyens les plus efficaces de prévenir les attaques. Les organisations et les écoles devraient former leurs employés et leurs élèves afin qu’ils utilisent la technologie de manière responsable et sûre. Par exemple, en sécurisant les mots de passe et en évitant les sites web dangereux, on peut réduire l’exposition individuelle aux virus ou aux escroqueries qui peuvent mettre en danger les données personnelles.

Conclusion

Par conséquent, la lutte contre la menace croissante est un travail d’équipe. Les gouvernements doivent prendre l’initiative d’adopter des lois et d’investir dans des mesures qui protègent leurs citoyens. Mais alors qu’ils tentent de trouver les meilleurs moyens d’y parvenir, les individus doivent faire de leur mieux pour se protéger.

Avec une législation et une éducation appropriées, l’Afrique peut se protéger contre la cybercriminalité pour donner à ses habitants la liberté de profiter des avantages de la révolution technologique.

JAYNIL PATEL

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