Introduction

Les hommes collectifs ont fait des villes inondées. Il pleut si normalement que les hommes s’abritent mal. Récemment, de nombreuses villes et villages dans le monde ont connu des inondations dues à de fortes pluies et à la montée du niveau de la mer. Un dicton malgache sur la prévention des risques fait référence aux caractéristiques de l’environnement : « Tenez compte des saisons des pluies » (tsinjovy ny vodiandro merika), semblable au proverbe anglais “make hay while the sun shines”. Ainsi, la prise en compte des événements climatiques offre des lignes directrices pour de meilleurs paramètres de construction. Cet article montre comment le changement climatique influence la résilience aux catastrophes grâce à des bâtiments sûrs.

Infrastructures basées sur les événements climatiques

Les événements liés au changement climatique sont soudains mais souvent prévisibles. Leurs principales manifestations varient d’un pays à l’autre : L’Amérique est confrontée à des inondations, l’Europe à des vagues de chaleur, l’Afrique à des sécheresses et l’Australie à des incendies de forêt. C’est pourquoi chaque région adopte ses propres normes de sécurité pour les bâtiments. Si les styles de construction reflètent la culture locale, ils sont également définis par le climat. La gestion des inondations nécessite un contrôle étroit des permis de construire et de l’utilisation des terres. Souvent, les gens construisent sur des terres dont ils ont hérité sans tenir compte des caractéristiques climatiques. Les quelques jours d’inondation sont sous-estimés par rapport au reste de l’année. Cependant, dans chaque pays, les citoyens connaissent les zones les plus hautes et les plus basses où construire des maisons. Les événements liés au changement climatique, tels que les inondations et les ouragans, devraient être pris en compte dans les décisions de construction. Les maisons doivent résister aux événements climatiques locaux, tels que les inondations et les cyclones. À cet égard, de nombreux chalets côtiers sont détruits chaque année par des cyclones.

Justice environnementale et sociale dans les bâtiments

Dans les pays pauvres, dépourvus de politique sérieuse en matière de logement, il est difficile d’assurer l’égalité de l’approvisionnement alimentaire lors des catastrophes naturelles en raison de l’étendue des zones touchées. La corruption et l’égoïsme empêchent une distribution équitable des denrées alimentaires, ce qui entraîne une injustice sociale. Certaines régions, en particulier celles des autorités ou des politiciens, peuvent être privilégiées, tandis que d’autres souffrent de discrimination. Les villes inondées sont le signe d’un échec de la planification urbaine. Le respect de la planification urbaine reconnaît la justice sociale fondée sur l’environnement et protège la population contre les incendies et les inondations. Il est essentiel de prévoir des espaces adéquats pour l’écoulement et le transport de l’eau. Les voies de circulation et de sauvetage facilitent les services d’urgence, tandis que les canalisations assurent un bon écoulement de l’eau et la gestion des inondations. Les autorités locales et les citoyens doivent veiller à ce que ces infrastructures soient adaptées à une évaluation efficace des risques.

Conclusion

Il est urgent de trouver des solutions pratiques et mentales. Le changement est urgent. Les gens étendent parfois leur terrain sur des zones destinées à la circulation ou à l’évacuation des eaux, ce qui entraîne corruption et égoïsme et contribue aux inondations de la ville. Assurer la sécurité des bâtiments d’aujourd’hui affecte la sécurité future de la ville. Faisons du foin pendant que le soleil brille.

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