Introduction
L’engagement des jeunes dans les élections est crucial pour le bien-être de tout gouvernement majoritaire. Quoi qu’il en soit, en dépit de leur potentiel à conduire des décisions positives, les jeunes se heurtent souvent à des obstacles qui les découragent de prendre part au processus de nomination. Il est important de comprendre ces obstacles pour créer des procédures visant à améliorer l’inclusion des jeunes dans les courses.
Obstacles à l’intérêt des jeunes :
Besoin d’une formation politique :
De nombreux jeunes ont besoin d’une compréhension adéquate du cadre politique, des formes de nomination et de l’importance de leurs intérêts. En l’absence d’une formation légitime, ils peuvent se sentir désarmés ou ne pas se sentir concernés par le vote.
Détachement de l’éducation politique :
L’éducation politique conventionnelle n’est pas toujours en phase avec les valeurs et les préoccupations d’une époque plus jeune. Ce désengagement conduit à un sentiment de distance et à la conviction que leur voix ne sera pas écoutée ou estimée dans le système politique existant.
Accès restreint aux données :
Le manque de données fiables sur les candidats, les partis et les problèmes des électeurs peut entraver la capacité des jeunes à faire des choix éclairés. La tromperie et la désinformation contribuent à aggraver ce problème, en suscitant la perplexité et le doute au sein du pouvoir discrétionnaire.
Obstacles de base :
Les jeunes peuvent être confrontés à des obstacles de bon sens tels que les conditions d’inscription sur les listes électorales, la disponibilité des zones d’enquête et les conflits avec les plans de travail ou d’études. Ces obstacles de base affectent excessivement les populations de jeunes marginalisés, y compris les personnes à faible revenu et les groupes minoritaires.
Critique et frustration :
Un sentiment inéluctable de critique et d’attentes déçues à l’égard des questions législatives et des législateurs peut empêcher les jeunes de s’intégrer dans la préparation à la nomination. La reconnaissance négative de l’avilissement, de l’impasse et du besoin de responsabilité contribue à un sentiment d’inutilité ou de manque d’intérêt à l’égard du vote.
Procédures pour surmonter les obstacles :
Instruction civique complète :
Mettre en place des programmes d’instruction civique vigoureux dans les écoles et les communautés afin de préparer les jeunes à acquérir les informations et les aptitudes essentielles à une citoyenneté dynamique. Ces programmes doivent mettre l’accent sur l’importance du vote, de la considération de base et du devoir civique.
L’engagement politique des jeunes :
Créer des espaces permettant aux jeunes de s’intéresser aux questions législatives selon leurs propres termes, par exemple par le biais de conseils de jeunes, d’activités dirigées par des étudiants et d’étapes avancées. L’autonomisation du discours et la coopération sur des questions qui les influencent spécifiquement peuvent cultiver un sentiment de possession et de renforcement.
Données et actifs disponibles :
Garantir aux jeunes un accès simple à des données précises et impartiales sur les courses et les candidats par le biais d’étapes en ligne, de campagnes dans les médias sociaux et d’efforts de sensibilisation de la communauté. L’aide à l’inscription sur les listes électorales et l’encouragement au vote par correspondance ou anticipé peuvent également aider à dépasser les limites calculées.
S’occuper des déséquilibres auxiliaires :
Soutenir les changements d’approche qui s’attaquent aux obstacles auxiliaires au vote, tels que l’inscription automatique des électeurs, l’extension des heures d’ouverture des bureaux de vote et l’ouverture des moyens de transport vers les bureaux de vote. Contribuer à l’organisation de la communauté et aux efforts de sensibilisation axés sur les jeunes marginalisés peut contribuer à garantir que toutes les voix sont entendues.
Motiver la confiance et le travail :
Cultiver un sentiment de confiance et d’organisation parmi les jeunes en mettant en avant les victoires de l’activisme et des changements sociaux menés par les jeunes. Souligner l’effet substantiel du vote sur des questions qui leur tiennent à cœur, telles que les changements climatiques, l’équité sociale et le déséquilibre financier, peut inciter les jeunes à s’intéresser aux courses comme moyen d’apporter un changement positif.
Conclusion :
L’engagement des jeunes est essentiel pour l’essence et l’authenticité d’une administration équitable. En s’attaquant aux obstacles qui empêchent les jeunes de participer aux élections et en appliquant des méthodes visant à améliorer leur association politique, les ordres sociaux peuvent exploiter la vitalité, l’imagination et la vision des jeunes pour obtenir des résultats positifs et façonner le long terme d’un gouvernement majoritaire.