INTRODUCTION
Le cœur de la petite fille qui a été niée et maltraitée saigne abondamment. Il est rempli de colère, de douleur et de torture. Tout ce qu’elle attend, c’est que sa voix soit entendue. Elles ont une bouche mais ne peuvent pas parler, elles ont une voix mais elle est aphone. C’est avec beaucoup de sympathie et de compassion que j’écris sur le sujet ci-dessus, afin de devenir leur voix.
LEUR QUESTION SERA-T-ELLE RÉSOLUE ?
Cette question s’adresse à toute l’humanité. Nous vivons dans une société où les filles et les femmes sont constamment maltraitées et privées de leurs droits. Pour commencer par la signification des droits, les droits se réfèrent à des principes juridiques, sociaux ou éthiques de droit ou de liberté ; en d’autres termes, les droits se réfèrent à des règles normatives sur ce qui est autorisé ou dû par les personnes selon un système juridique ou une convention sociale, ou une théorie éthique. Parmi les droits, on peut citer le droit à l’éducation, les droits de l’homme et le droit au logement. En Afrique et dans le monde, les petites filles sont toujours exposées à un risque élevé de déni ou d’abus de leurs droits. C’est également à un rythme alarmant que les choses s’aggravent si l’on n’y prend pas garde ou si l’on ne s’en préoccupe pas. Si l’on prend l’exemple du Ghana, une femme sur quatre que l’on rencontre a été victime d’abus. C’est un très mauvais bilan. Tout ce que les petites filles demandent, c’est qu’on leur donne leurs droits et qu’on arrête de les maltraiter.
COMMENT RÉSOUDRE LEUR PROBLÈME ?
La meilleure façon de mettre un terme à la maltraitance des petites filles, c’est par notre intermédiaire. Nous sommes nos propres problèmes et nous les résolvons, alors si nous décidons d’y mettre un terme, nous pourrons le faire avec joie. Nous pouvons le faire avec joie.
Leur question peut également être résolue lorsque nous prenons des mesures drastiques pour mettre un terme à tous leurs abus et dénis. Certaines de ces mesures sont la promulgation d’une loi sur les droits de l’homme pour les petites filles. Cette loi devrait les régir et les protéger. Ceux qui enfreignent cette loi doivent en subir les conséquences afin de dissuader les autres d’agir de la sorte.
CONCLUSION
La situation critique des petites filles maltraitées et privées de leur droit à l’éducation réclame l’attention, elle est remplie de colère et de douleur, mais leur voix n’est pas entendue. Dans une société où les femmes et les filles sont constamment victimes d’abus et de déni de droits, la question demeure : leur situation sera-t-elle un jour prise en compte ? La solution réside dans l’action collective, par la promulgation et l’application de lois qui protègent les droits des petites filles et qui obligent les auteurs à rendre compte de leurs actes.