Introduction
Malgré les complications médicales associées à l’avortement, l’avortement d’un enfant à naître reste une norme parmi les étudiants universitaires de nombreuses résidences universitaires sud-africaines à travers le pays. Cela s’est produit après la légalisation de l’avortement en 1996 en vertu de la loi sur le choix de l’interruption de grossesse. Une telle disposition légale a légalisé l’avortement et a donné aux femmes de tout âge une liberté totale et le droit d’interrompre la naissance d’un enfant à naître quand elles le souhaitent, sans subir de conséquences juridiques.
Facteurs qui poussent les jeunes femmes universitaires à interrompre leur grossesse
De nombreux facteurs contribuent au choix fait par de nombreuses jeunes étudiantes universitaires d’interrompre leur grossesse. L’un des facteurs qui y contribuent est que de nombreuses jeunes étudiantes envisagent d’interrompre un enfant à naître, craignant que leur carrière universitaire ne soit perturbée par leur état de grossesse si elles prennent une pause pour s’occuper du bien-être du nouveau-né. Cela se produit souvent à la suite du non-respect des instructions strictes des parents à la maison selon lesquelles une fois qu’elles tombent enceintes, personne ne s’occupera de leur(s) enfant(s). Certaines familles menacent même leurs enfants qui sont à l’université qu’une fois enceintes, ce sera la fin du soutien financier des parents. Par conséquent, de nombreux jeunes étudiants pensent que porter un enfant à naître pendant neuf mois les affectera académiquement et émotionnellement au point qu’ils risquent d’être soumis à de mauvais résultats scolaires, à l’isolement et à l’exclusion académique.
Le manque de préparation à devenir parent et les relations instables comme facteurs contributifs
Alors que certaines jeunes étudiantes optent pour l’avortement parce qu’elles craignent que leur parcours universitaire ne soit compromis, d’autres choisissent d’avorter parce qu’elles estiment qu’elles ne sont pas prêtes à devenir mères. Cela est dû à de nombreuses raisons. Parmi eux, certaines jeunes étudiantes envisagent d’avorter leurs enfants à naître sous prétexte qu’elles sont tombées enceintes par erreur et que leur grossesse est le résultat d’une relation instable, surtout si elles savent que le type d’homme qui les a mises enceintes est un homme irresponsable.
Situation financière instable de l’un ou des deux partenaires
La question de la situation financière instable du petit ami qui a mis enceinte une jeune étudiante, ainsi que l’instabilité financière de la jeune femme enceinte elle-même, sont un autre facteur contributif menant à une décision d’avortement. Dans les cas où toutes deux dépendent encore de leurs parents pour leur soutien financier et leur survie à l’université, elles conviennent parfois collectivement de décider d’interrompre la grossesse afin de ne pas alourdir la charge financière de leurs parents respectifs qui s’occupent d’elles à l’université. Dans certains cas, une femme enceinte opte simplement pour l’avortement avant que son petit ami puisse savoir quelque chose sur sa grossesse.
Même si l’avortement est légalisé, il laisse toujours un sentiment de culpabilité chez la femme qui a interrompu sa grossesse et tué un enfant innocent à naître. En résumé, de nombreux facteurs contribuent à expliquer pourquoi de nombreuses jeunes femmes dans les résidences universitaires avortent. Ceux-ci incluent des relations instables, une grossesse par erreur, une instabilité financière et la peur de mettre en péril leur carrière universitaire.