La situation actuelle des transports
Toutes les perturbations de la pandémie covid-19 nous ont donné du temps pour réfléchir au transport mondial. Actuellement, presque tout le transport en Afrique subsaharienne est basé sur les carburants. Comme résultat, les prix des carburants montent de plus en plus pour les citoyens. En plus, la pollution produite par le transport de combustibles, telle que le rejet d’oxyde nitreux et de monoxyde de carbone, contribue fortement à la qualité de l’air dans les villes. Tant que la population croisse et la migration aux villes continue, la propriété des véhicules s’élèvera, ce qui aggravera le problème.
Les véhicules électriques
L’adoption des véhicules électriques lutte contre ces problèmes. Comme une alternative à l’utilisation des carburants, les véhicules électriques sont essentiels pour combattre le changement climatique qui a un impact de plus en plus nuisible sur les régions en Afrique subsaharienne. Les véhicules électriques ne produisent pas de gaz toxiques par le tuyau d’échappement ce qui améliorera la qualité de l’air dans les villes. Bien que 63% des personnes qui possèdent des véhicules pensent que l’option d’un véhicule électrique dépasse leur budget, la vérité est qu’ils peuvent nous aider à économiser de l’argent sur le carburant. De cette manière, les véhicules électriques assurent un futur moins cher et d’énergie propre.
Quelles sont les barrières?
En ce moment, il y a certaines barrières qui empêchent l’adoption des véhicules électriques. Par exemple, les véhicules électriques ne s’utilisent globalement que si les stations de recharge sont accessibles. Ceci requiert l’investissement gouvernemental dans l’infrastructure qui ne se passe pas à cause des priorités de dépense plus immédiates. En plus, les alimentations électriques fiables doivent être présentes à faible coût. Maintenant, les véhicules électriques sont rares en Afrique subsaharienne et les alimentations électriques restent peu communes aussi.
Quel est le futur du transport?
Malgré cela, l’adoption de transport électrique continue. Par exemple, le Kenya a obtenu un financement pour électrifier son système ferroviaire. De plus, on pense que “cleantech” (la technologie qui vise à être écologique) est une des secteurs croissante en Afrique. Comme résultat, les investissements dans la capacité du pouvoir électrique en Afrique subsaharienne sont prévues dans la prochaine décennie. Par exemple, l’ONU (une organisation globale qui vise à maintenir la paix internationale) veut développer des véhicules électriques dans au moins dix pays africains.
En fin de compte, les véhicules électriques sont le transport du futur. Chaque constructeur automobile notable offre des véhicules électriques dans la production commerciale. D’ici à 2040, les experts pensent que 54% des ventes de voitures au niveau mondial seraient des véhicules électriques. Tant que l’investissement dans ce secteur augmentera en afrique subsaharienne au cours de la décennie à venir, la demande pour les véhicules électriques augmentera tandis que l’infrastructure nécessaire se met en place dans les villes.